Padre Pio
Les témoignages
(Photo : Ex-voto dans le cloître du sanctuaire Notre-Dame des miracles, Madone d'Utelle)
Pape Benoît XV
Source Photo : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Benedictus_XV.jpg
"Padre Pio est vraiment un de ces hommes extraordinaires que Dieu envoie sur terre de temps en temps pour convertir les cœurs"
Benoît XV et Ferdinand Damiani
Le Pape Benoît XV recevait Ferdinand Damiani qui lui dit : "Méfiez-vous de Padre Pio, car c'est un escroc !"
Le
Pape lui répondit : "Certainement, monsieur, vous êtes mal informé. Je
vous conseille vivement d'aller le trouver, pour voir de vos yeux".
Lorsque
Ferdinand arriva en gare de Foggia, il rencontra deux pères capucins
qui lui disent : "Padre Pio nous envoie à votre rencontre, sachant que
vous êtes envoyé par le Pape pour le visiter".
Surpris par cette réponse, il retourna voir le pape et lui raconta tout ce qui s'était passé.
Benoît
XV s'exclama : "Padre Pio est vraiment un de ces hommes extraordinaires
que Dieu envoie de temps à autre sur la terre pour convertir les âmes".
Le Pape Jean XXIII
Le cardinal-patriarche Roncalli fit une visite en 1956 à Padre Pio qui lui prédit qu'il deviendrait Pape.
À
la mort de Pie XII, le nouveau pape élu, Jean XXIII, se rappelant les
paroles de Padre Pio lui envoya un télégramme avec sa bénédiction.
Quand
le Pape Jean XXIII entendit parler de l'affaire des microphones
installés autour de Padre Pio pour enregistrer ses entretiens au
confessionnal, il envoya un évêque à San Giovanni Rotondo pour se
renseigner et mettre fin au scandale.
Lors de la consécration de la nouvelle église de San Giovanni Rotondo, le Pape Jean XXIII envoya le cardinal Tédeschini.
Padre Pio était très malade. De retour à Rome, le cardinal informa le Pape Jean XXIII de la santé du Padre Pio.
Le
Pape lui envoya aussitôt le télégramme suivant : "Pour le réconforter
dans son infirmité, l'auguste pontife implore sur lui, de grand cœur
l'abondance des grâces célestes, la sérénité de l'esprit et le
soulagement de ses souffrances, avec sa bénédiction spéciale, ses vœux
paternels et ferventes prières".
Saint Jean-Paul II
Karol Wojtyla était venu en pèlerinage en 1947 à San Giovanni Rotonda alors qu'il était un jeune prêtre polonais.
Il se confessa à Padre Pio qui lui avait prédit qu'il deviendrait un grand pape.
Wanda Półtawska en 1963
Source photo : https://pl.wikipedia.org/wiki/Wanda_P%C3%B3%C5%82tawska
En 1962, il était évêque, et écrivit 2 fois à Padre Pio :
1) La première fois pour demander la guérison d'une amie chère la professeure Wanda Poltawska, atteinte d'un cancer de la gorge.
Dans sa lettre du 17 novembre 1962 adressée au Padre Pio, il dit :
"Vénérable
père, je vous demande de prier pour une mère de quatre filles, laquelle
a quarante ans et vit à Cracovie, en Pologne. Pendant la première
guerre, elle a passé cinq ans dans les camps de concentration en
Allemagne et elle fait maintenant face à un très grave danger de santé,
même de mort, à cause d'un cancer. Priez afin que Dieu, grâce à
l'intervention de la Bienheureuse Sainte Vierge, montre de la
miséricorde envers elle et sa famille".
2)
La seconde fois pour lui dire que son amie avait miraculeusement guéri
alors qu'elle se préparait à subir une intervention chirurgicale.
Le 28 novembre 1962, onze jours plus tard, il écrit :
"Vénérable
père, la femme résidant à Cracovie, mère de quatre filles, avant de
subir l'opération chirurgicale, est guérie soudainement le 21 novembre.
Nous rendons grâce à Dieu, et à toi aussi, Vénérable père, j'offre mes
plus vifs remerciements au nom de cette même femme, de son mari et de
toute sa famille".
Le
Pape Jean-Paul II, pendant une visite du sanctuaire de Sain Giovanni
Rotondo, disait de Padre Pio : "L'autel et le confessionnal ne
furent-ils pas les deux pôles de sa vie ?" "Il offre même aujourd'hui un
point de repère, puisque les deux aspects qui caractérisent le
sacerdoce catholique -le pouvoir de consacrer le Corps et le Sang du
Seigneur et celui de remettre les péchés- trouvèrent en lui un accueil
spécial et une résonance spirituelle particulière".
Maria Valtorta
Extrait des cahiers de 1943 de Maria Valtorta
"J'ai
vu (en rêve) Padre Pio de Pietrelcina et je lui ai parlé. Je l'ai vu,
toujours en rêve, en extase après la Sainte Messes, j'ai vu son regard
pénétrant, et quand il m'a prise par la main, j'ai senti la cicatrice de
ses stigmates. Et, non pas en rêve, mais alors que j'étais bien
réveillée, j'ai senti son parfum. Aucun jardin rempli de fleurs sur le
point d'éclore ne saurait dégager des fragrances paradisiaques pareilles
à celles qui remplirent ma chambre la nuit du 25 au 26 juillet 1941 et
l'après-midi du 21 septembre 1942, juste au moment où un de nos amis
parlait de moi au Padre (j'ignorais qu'il s'était rendu à San Giovanni
Rotondo).
Ces
deux fois là, j'ai obtenu les grâces demandées. Marta aussi a senti ce
parfum. Il était tellement fort qu'il la réveilla. Puis il disparut d'un
seul coup, comme il était venu.
Témoignage de Marta Diciotti, extraits du livre "Souvenirs de femmes qui connurent Maria Valtorta"
"Je
me rappelle qu'une fois, un maréchal de la marine qui habitait seul
avec sa femme dans le voisinage, Via Vittorio Veneto et qui s'appelait
Arena, rendit visite à Padre Pio et lui parla de Maria. Car autrefois,
les hommes spécialement, pouvaient parler avec le célèbre capucin, et
pas uniquement pour se confesser. Donc ce maréchal qui avait pitié de
Maria à cause de ses grandes souffrances, prit l'initiative de demander à
Padre Pio la grâce de la guérir ou du moins d'alléger ses souffrances.
"Je vous assure, Padre, que cette malheureuse souffre terriblement" lui
disait cet homme.
"Oui,
oui je sais, je sais. Mais si je peux faire quelque chose ce sera pour
son âme. Pour son corps, pour en soulager les douleurs, je ne peux
rien".
Et
tandis qu'il parlait avec Padre Pio, ici, une vague de parfum se
répandait. Revenu au village, Arena se rendit chez Maria et lui raconta
ce qu'il avait demandé et ce qu'on lui avait répondu. Elle sourit et lui
dit : "Eh oui ! Il a raison". Elle lui demanda à quelle heure s'était
déroulée sa conversation avec le frère de San Giovanni Rotondo. Et bien,
l'heure, et le jour évidemment correspondaient exactement au moment de
cette vague de parfum que nous avons sentie.
Extrait des Cahiers de 1944 de Maria Valtorta
25 juillet 1944
Hier aucune dictée. Repos pour mon pauvre dos, brisé par ces grands travaux d'écriture des jours précédents.
Mais non sans faveurs célestes.
Avant
tout, une immense paix puis, présence visible de mes Amis du Ciel avec
leurs caresses, et présence -sensible aux autres aussi- de ce parfum de
roses qui tantôt semble pur comme s'il y avait des branches de rosier à
peine cueillies dans la chambre, et tantôt semble mélangé à une légère
odeur d'iode ou de vinaigre comme si les roses s'étaient légèrement
fanées sur leurs tiges. Le parfum arrive lentement ; au début ce n'est
qu'une nuance, puis il s'affirme et se développe, arrivant comme par
vagues, parfois très intenses, parfois moins fortes.
Ensuite il s'estompe comme il est venu.
Généralement,
c'est une odeur de rose. Quelques fois c'est plus complexe, on dirait
un mélange de gardénia, de jasmin, de violette, de muguet, de lys et de
tubéreuse. Je ne sens jamais l'odeur des œillets, des iris, des
jonquilles, des frésias ou autres fleurs. Seulement celles que j'ai
nommées ci-dessus.
Je pense que ce parfum m'est apporté par quelque "Ami" ou qu'il provient de la bénédiction de Padre Pio.
Je ne sais pas exactement. Chaque fois je le salue en le remerciant en
ces termes : "Qui que tu sois, merci pour ta protection sensible". Car
je me sens protégée, quand je suis parmi ces fragrances, bien plus que
d'habitude. Comme si j'étais dans les bras de quelqu'un qui m'aime avec
la perfection d'un saint.
29 novembre 1944
Il
y a huit jours de cela, le 22 novembre, juste dans la nuit qui
précédait le voyage de Marta à Lucques pour se renseigner sur le permis
de transport automobile, j'ai rêvé, pendant le bref sommeil de l'aube,
que je m'acheminais vers Viareggio (à pied) avec Marta et que je
rencontrais en chemin Padre Pio, ou un franciscain -mais pour moi
c'était Padre Pio- lequel me regarde et dit comme s'il se parlait à
lui-même : "C'est pourtant amer ! Avoir tant attendu le retour et avoir
autant de retard". Moi, je me retourne, à la fois émue et fâchée puis je
dis : "Quoi ? Quoi ?". Et lui : "Rien. Je disais que c'est amer d'avoir
tant attendu le retour et d'avoir autant de retard". Il le répéta deux
fois et disparut.
Je
me réveille très perturbée et je dis à Marta "Tu verras, on ne pourra
rien faire". Marta dit : "Mais non ! Au contraire Padre Pio est venu
vous dire que le retard a été amer, mais que c'est fini". Et moi : "Non,
non. Tu verras, c'est maintenant que ça commence. Il était trop triste
quand il me disait ces mots. Il avait de la peine pour moi".
Marta va à Lucques... et elle sait qu'il est impossible de partir avant le 30 car les permis sont refusés.
Lettre de Rosi Giordani, fille spirituelle de Padre Pio, à Mr Emilio Pisani du 7 janvier 1989
"......
Je vous écris principalement pour vous raconter ce qui suit : une fille
spirituelle de Padre Pio, une des premières, Mme Elisa Lucchi, dite
Malvina, originaire de Forli demanda en confession à Padre Pio, un an
avant la mort de ce dernier : "Padre, j'ai entendu parler des livres de
Maria Valtorta. Me conseillez-vous de les lire ?". Réponse du Padre :
"Je ne te le conseille pas, je te l'ordonne !"?
Pape Paul VI
Source photo : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Paolovi.jpg
Le
cardinal Montini (qui deviendra le Pape Paul VI), encore
cardinal-archevêque de Milan, quand la presse publia la rumeur que Padre
Pio pourrait être enlevé de San Giovanni Rotondo, disait : "Si cela
devait arriver, je suis prêt, moi, à le recevoir à Milan. Je
l'installerais près de la cathédrale pour y célébrer la messe, car je
suis bien persuadé que l'assistance à la messe de Padre Pio donnerait
plus de fruits que la prédication d'une mission".
Lors du 50ème anniversaire de l'ordination sacerdotale de Padre Pio, le cardinal Montini lui envoya une lettre :
"Mon
très révérend Père, j'apprends que Votre Paternité célébrera
prochainement le cinquantième anniversaire de son ordination sacerdotale
: je me permets, moi aussi, de vous exprimer dans le Seigneur, mes
félicitations pour les immenses grâces qu'il vous a accordées et que
vous avez si bien su utiliser. C'est bien le cas de redire, avec joie et
reconnaissance, envers la divine Bonté : "Venez et voyez, vous tous qui
craignez Dieu, et je vous raconterai toutes les grâces qu'il a faites à
mon âme !"
C'est ainsi que mérite d'être célébré le sacerdoce.
Je
forme le vœu que le Christ Seigneur puisse vivre et se manifester dans
la personne et le ministère de Votre Paternité, comme disait saint Paul :
Que la vie de Jésus se manifeste dans notre chair mortelle.
Je
sais que vous priez aussi pour moi. J'en ai un immense besoin. Veuillez
toujours recommander au Seigneur ce diocèse et votre très attaché dans
le Christ." J.B. Montini, archevêque
Le
Pape Paul VI se demanda : "Regardez la renommée dont il jouit ! Quelle
clientèle mondiale il a su rassembler autour de lui ! Mais pourquoi ?
Parce que c'était un philosophe, parce que c'était un savant, parce
qu'il avait des moyens à sa disposition ? Puis il donna cette réponse :
"Parce qu'il disait la messe humblement et qu'il confessait du matin au
soir".
Pie XI
Source photo : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Piuspp.xi.jpg
C'est sous le pontificat de Pie XI que Padre Pio fut victime de calomnies et mis à l'écart des pèlerins.
Mais
dès que la vérité sortit, Pie XI le réhabilita et déclara au général de
l'ordre franciscain : "Maintenant, vous, les capucins, vous pouvez être
contents ; Padre Pio a été réintégré... et au delà !"
Pie XII
Source photo : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Pio_XII_Pacelli.jpg
Lors
de l'inauguration de la maison du soulagement de la souffrance, le pape
envoya, par l'intermédiaire de la Secrétaire d'État, le télégramme
suivant au général de l'ordre des capucins :
"Le
jour de l'inauguration à San Giovanni Rotondo de la Maison du
Soulagement de la Souffrance, l'auguste pontife, se félicitant des
œuvres inspirées par la compréhension exacte de la charité évangélique,
appelle une large et solennelle effusion des grâces divines sur le
développement d'une telle œuvre, sur tant de pieux dévouements ; et il
envoie de tout cœur au zélé promoteur (Padre Pio), aux dirigeants et aux
assistants, sa paternelle bénédiction apostolique".
Padre Pio aimait beaucoup Pie XII et priait beaucoup pour lui.
Quand
il apprit qu'il était gravement malade et qu'on craignait sa fin
prochaine, il dit : "Faites savoir au pape qu'il ne mourra pas de
sitôt".
Pie XII recouvrit la santé.
Sainte Thérèse de Lisieux
En
1925, le jour de la béatification de Sainte Thérèse de Lisieux, le
bienheureux Don Luigi Orione a aperçu Padre Pio dans la basilique Saint
Pierre de Rome alors qu'il était à San Giovanni Rotondo.
Source : ©La lumière de Dieu
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